Les décès par défaut d’évacuation et par manque de soins ne sont pas pris en compte dans le bilan des victimes, pas plus que les morts du fait des épidémies, de la faim, de la soif qui accablent la population, écrit l’historien Jean-Pierre Filiu dans sa chronique.Une Palestinienne porte le corps d’un enfant devant l’hôpital Al-Shifa de Gaza, le 29 août 2025.
A Gaza, l’effroyable décompte des morts n’inclut pas les dizaines de milliers de victimes indirectes de l’offensive israélienne
Scritto il 07/09/2025
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